FIRST DAY OF THE YEAR - ELEANOR & FALLON

Mon réveil matin retentit à travers ma chambre à 5h00 AM précis. Bien que ma chambre en fût une nouvelle, je voyais la même décoration au détail près de notre ancien manoir d’Atlanta. Les concepteurs semblaient avoir fait un travail remarquable. Je me retourne et vis Culhane qui dormait toujours paisiblement. Je souris. Posa un baiser sur le rebord de sa joue et saute du lit pour me diriger jusqu’à la salle de bain. Douche, maquillage, coiffure, vêtements, j’étais finalement prête. Je portais ce matin-là un ensemble de créateur violet qui mixait pantalon léger et jupe. J’avais les cheveux ondulés et un maquillage agencé à mes vêtements. Je mangeais doucement un petit quelque chose et hop, je pris chemin à bord de la limousine familiale jusqu’à Manhattan pour découvrir officiellement nos nouveaux locaux. En fait, j’y avais souvent mis le pied lors de mes passages chez mon oncle à New York, mais cette fois-ci – et surtout après rénovation du bâtiment – je me voyais la nouvelle directrice des opérations de Carrington Atlantic et prête à faire des petits miracles. Mes talons claquèrent au rythme de mes pas une fois l’ascenseur arrivé sur l’étage de mon bureau. Les employés me saluaient par des « mademoiselle Carrington » même si je ne semblais pas connaître la moitié d’entres eux. J’arrive finalement à mon bureau où j’ouvre avec extase cette dernière et tourne sur mes propres talons – sourire ajusté sur le visage. J’appuie sur mon téléphone et j’active la main-libre. «  Exelie ! Prépare-moi les dossiers pour le gala d’ouverture de samedi et j’attends toujours mon café. » Dis-je, bien que je n’avais pas précisé encore l’heure de mon arrivée à mon assistante. Elle était nouvelle et je me devais de lui offrir sa chance – bien que mes indulgences risquaient d’être plutôt élevés.

Suivant la brève communication avec mon assistante, je me retournais en entendant un toquement à ma porte. Je ne pus qu’éprouver un sentiment de satisfaction en y voyant ma cousine et désormais collègue Eléanor. Bien que nous étions de la même famille et que nous avions été élevé ensemble, c’était pour nous une première de travailler au sein de l’entreprise en coalition. Il s’agissait d’une situation assez amusante lorsqu’on pensait que nous étions tous les deux pour Carrington Atlantic. Ce sacré Thomas avait laissé un empire derrière lui. Bref, suivant le commentaire que m’envoyait Ele au sujet de ma discussion avec mon assistante, je ne peux que froncer les sourcils avec humour. « Première journée officielle et je n’ai pas mon café sur mon bureau. J’ai renvoyé la dernière pour beaucoup moins… » Dis-je en roulant les yeux qui se terminait quand même par un petit sourire pincé. Je m’approche de ma cousine pour lui échanger la bise en posant une main sur ses épaules. J’étais réellement conquise par ce moment. « Je ne sais pas si je vais m’habituer à ce nouveau train-train quotidien, mais travailler avec toi risque d’être réellement plaisant. Dixit la fille qui a bossé avec sa nouvelle belle-mère. Tu as rencontré cette vipère de Cristal d’ailleurs ? » La questionnais-je, n’étant pas très certaine de la situation. « Ah oui, le mariage de Blake. » Dis-je en riant. « Disons que j’en oublie parfois ce moment fort… inutile. » C’était un peu chiant, mais pour moi, mon père s’était marié beaucoup trop vite et surtout avec la mauvaise personne. Chose qui ne changeait pas sachant que ma mère était Alexis.

Dans une autre figure de cas, j’aurais pu mal prendre les paroles d’Eleanor, mais vu qu’il s’agissait d’elle, je savais pertinemment que ça n’avait aucune mauvaise pensée. J’ajustais donc mon sourire pour partager son rire. Elle me questionna ensuite sur les exigences que j’avais eu auprès de ma nouvelle assistante. Je pinçai les lèvres pour lui répondre aussitôt. « Tout était précisé à l’entretient ; je lui ai même fournis un document annoté sur mes goûts et habitudes qu’elle se devait d’étudier, du coup, si elle est digne de Fallon Carrington, elle devrait pouvoir conserver son poste. » Je colle mes mains l’une contre l’autre en levant d’un bond les épaules en guise de – On verra bien – je ne voulais pas non plus avoir l’air horrible auprès de ma cousine. Je m’attendais à ce que notre partenariat se passe bien. Je n’avais jamais travaillé avec elle, j’espérais que ça se déroule bien. Fallait dire qu’avec Blake, ce n’était pas toujours festif entre nous. Eleanor continuait sur le sujet de ma belle-mère. Plutôt ennuyeux j’approuve, mais elle n’avait pas eu la chance de vraiment la connaître. « Avant qu’il ne passe à la prochaine trainée ouais… » Je soupirais un peu désespéré du cas de Blake. J’avais de la difficulté à le suivre, mais bon. « Il a quand même épousé Alexis, faut pas être surpris. » Je savais qu’en prononçant le prénom de ma mère, mes yeux venaient de faire un gros bond. Je suivais ma cousine du regard pour finalement m’appuyer contre mon bureau. Un sourire rejoignit mon visage lorsqu’elle prononça cette petite phrase sur mes ennemis – quelle joie. Nous étions toujours aussi complice. « Et bien, prépare toi parce que ma nouvelle MAMAN, c’est l’une de tes nouvelles patronnes. » Je roule les yeux suivant un sourire qui se voulait clash.  « Figure-toi donc que mon père lui a donné des parts dans l’entreprise familiale. Mon entreprise. Et elle m’a raflé le poste de directrice des opérations… que j’ai toutefois réussis à récupérer.»

De discuter avec Eleanor avait toujours fait partie de mes moments préférés. Je savais que toutes les deux, nous pouvions facilement discuter des heures de tout et de rien – ajouter une pointe humour qui rendait tout plus facile – j’allais travailler à ses côtés, mais ça ne signifiait pas que nous allions nous prendre la tête. C’est ensemble que nous pourrons faire des miracles. Je me redresse et avança de quelques pas. Je souriais toujours – surtout face aux compliments que ma cousine formulait à mon égard. Elle était toujours aussi gentille. C’était considérable et très agréable même. « On ne dirige pas un empire comme celui-ci si nous ne sommes pas capable de faire les choses par soi-même. Le jour où je me ferais diriger par mon père – ou qui que ce soit – c’est bien parce que je serais paraplégique et sur le point de rendre mon dernier souffle. » Mes sourcils firent un bon. « Tu es adorable Ele. C’est parfois à se demander si Alexis n’a pas demandé à quelqu’un d’autre d’accoucher à sa place… » Parce que l’instant maternel, on passait. Je fis un sourire en coin qui m’empêchait d’éclater de rire. De ce qu’Eleanor avait entendu dans les couloirs, Cristal ne faisait pas encore partie des têtes appréciées chez Carrington Atlantic et je m’en voyais conquise. Je m’enthousiasmais à sa réponse. « Faut croire qu’elle n’a pas laissé sa place depuis qu’elle a obtenu son poste. Tu dois avoir entendu parler de sa sex-tape avec l’un des techniciens qui bossait pour papa à Atlanta ? Elle n’a besoin de personne pour tacher sa réputation, elle y arrive haut la main, j’y lève mon chapeau d’ailleurs. » Je me moquais d’elle et je m’en fichais bien. Cristal avait ce talent pour me prendre la tête. Je devais la côtoyer autant au travail qu’au manoir désormais.

J’éprouvais réellement de forts sentiments à l’encontre de ma cousine. Elle me supportait encore et toujours et je ne pouvais cesser d’apprécier sa compagnie. Elle était sincère – ça je ne douterais jamais de ce point. Je lui souriais donc face à ce qu’elle affirmait à mon sujet – bien que ma petite plaisanterie ne semblait pas lui avoir plus. « Ne t’inquiète pas Eleanor. Je suis aussi solide que le roc. » J’effleurai ma main sur la sienne tout en souriant, tournant talon pour marcher quelques pas à travers la pièce. J’observais quelques employés qui commençaient à se pointer dans les couloirs. Tout devenait si réel. J’étais conquise. Ainsi, les questionnements de ma cousine face à ma propre mère pourraient paraitre compliquer. Je n’avais pas moi-même la réponse à toutes ses interrogations – ce qui me décourageait. « Ouais… malheureusement, on se la coltine elle et ses implants mammaires depuis les funérailles de grand-père… En fait, mon père a tenté de la chasser du manoir à son retour, sauf qu’elle a réussis à s’approprier une parcelle de l’écurie – celle qui provenait de sa famille… et maintenant que le manoir est partie en fumée.. je pensais qu’il aurait au moins l’amabilité de nous débarrasser d’elle à New York – sauf que non… il lui a offert un toit… dans la même parcelle de terre qu’elle possédait à Atlanta…  parfois, je ne le comprends pas. » Je roulais les yeux désespérée par la situation. Mes bras se croisèrent suivant mon soupire. Je voyais que ma cousine se déplaçait et je la suivais du regard, un sourire malaisé en coin. Je m’exclamais aussitôt lorsqu’elle parlait de ses propres problèmes. À côté, l’histoire de Cristal, c’était rien. « Oh oui… c’est tellement horrible ce qui arrive à Ezra. Je suis passée le voir à la villa hier matin. Il est vraiment à ramasser à la petite cuillère, il me fait pitié. J’aimerais tellement pouvoir faire quelque chose pour l’aider… » J’en avais un sanglot dans la gorge. J’étais vraiment proche de lui – et du reste de la famille. Ce n’était pas mon parrain pour rien.

La discussion continuait. Nous étions encore assez tôt au bureau et la majorité des employés n’étaient toujours pas sur place. De toute manière, en tant que tête dirigeante de la boîte, nous pouvions prendre le temps qui nous plaisait pour papoter. Je n’avais pas eu la chance de parler beaucoup avec ma cousine depuis quelques mois. Tellement de choses se produisaient chez les Carrington/Meyers. Il était donc normal de voir la discussion florissante. Comme le disait Eleanor, Blake était un homme plein de surprise et difficilement compréhensible. Ça avait toujours été ainsi. « J’imagine qu’il a un plan derrière la tête ou bien Alexis lui fait du chantage sur quelque chose qu’elle a découvert. Avec eux, je ne suis surpris sur rien. » Dis-je en me marrant. C’était désolant, mais également plutôt drôle. Face à Ezra, je me sentais totalement confuse. Je voulais lui offrir un soutien en béton, sauf que je n’avais pas toutes les cartes pour lui venir en aide. Après tout, même si je ne croyais pas le moindre du monde de sa culpabilité. Je ne contrôlais pas les pensées d’autrui. Je guidais mes pensées et mes paroles pour l’aider, mais était-ce assez. « Je suis certaine qu’il va s’en sortir. C’est l’homme le plus solide que je connaisse. Je pense réellement que de déménager à la villa risque de lui offrir le soutien dont il a besoin pour remonter la pente. En tout cas, si je peux faire quoi que ce soit. N’importe quand, à n’importe quelle heure. Je suis là pour vous. Vous tous. » J’étais sincère. Je gardais un petit sourire sur mes lèvres, dissipant mon malaise.

Mon regard changea lorsqu’Eleanor suggéra que Blake et Alexis s’étaient peut-être rabibocher. « Doux Jesus, faudrait pas ! Ce qu’il y a de pire que ces deux-là en guerre, c’est bien eux filant le parfait amour. De plus, je n’arrive même pas à croire que mon père aille pu être charmé par elle… d’un sens j’aurais dû pour ses gros lolos, mais si on regarde Cristal, ce n’est pas pour dire qu’elle n’a pas été gâté par la nature. » Je roulais les yeux en me questionnant sincèrement sur le sujet. Enfin, j’étais venue au monde et Steven également – donc vla deux points positifs de cette étrange union. Face à Ezra, la situation était mille fois pire que les frasques des Carrington – que pouvait-on faire pour l’aider ? J’en avais aucune idée et rares étaient les fois où les plans juteux ne me venaient pas. Je soupirais juste à l’idée d’être complètement sans cartes dans mon jeu. « J’aimerais tellement trouver la solution miracle. Il le mérite … » Je soupirais, exprimant ma détresse. « Tu as les noms de ces actrices qui portent pleines contre ton père ? » Peut-être qu’une petite visite pourrait être bénéfique ? – ou pas.. Je ne voulais pas baisser les bras, mais je ne voulais pas envenimer les choses. J’étais plutôt douée là-dedans aussi… Je lève le regard vers ma cousine et mes épaules firent un bon un peu découragé. « Une force de caractère que j’ai hérité de lui, c’est au moins ça – ça et le sens des affaires. » Vint ensuite le sujet de mon mariage – mes mariages – enfin bref. Je rigolais un peu plus face à toute ce drama qui venait de se passer à Atlanta. « En fait… je ne sais pas ce que tu as entendu, mais c’est assez compliqué. J’ai découvert que Jeff voulait m’épouser que pour toucher mes parts, du coup, j’ai joué la plus maline et j’ai réussis à avoir un mariage en blanc avec un parfait inconnu – Liam – pour empêcher la validation de celui avec Jeff. Mon plan a été un franc succès…. Est venu ensuite la découverte de … Ah oui, Jeff est notre petit cousin, grand-père Thomas n’a pas réussis à garder sa zigounette dans son pantalon et c’est tapé sa secrétaire – surprenant …. Et là, on va divorcer avec Liam, parce que je suis enfin fiancé avec Culhane ! » Dis-je en dévoilant ma bague avec enthousiasme.

Pauvre Ezra, je n’arrivais pas à croire encore qu’une situation comme celle-ci puisse lui tomber dessus. Lui qui était un homme des plus bons et généreux. Je ne croyais pas la moindre seconde qu’il pouvait en être coupable. Je connaissais les femmes de mon époque et je savais qu’il était facile de trouver un moyen de se monter une petite fortune. Je n’étais pas femme d’affaire pour rien – mais je n’irais jamais jusqu’à détruire la vie d’une personne que pour quelques billets supplémentaires. Je fixais Eleanor qui semblait démunie face à cette histoire et je la comprenais. C’était fou. « Dès que tu as ses noms, tu peux être certaine que je débarque avec ma cavalerie et elles peuvent être certaine de croiser Fallon – la furie – Carrington en chair et en os ! » Je fronçais sévèrement les sourcils. Toute cette histoire me remontait complètement. J’avais l’habitude d’avoir le contrôle sur ma vie et sur les autres, mais cette fois-ci, ce n’était pas le cas. Je décourageais un peu – et encore plus lorsqu’Ele spécifiait que Blake m’aimait. C’était vrai, mais à quel prix… enfin, je venais de tout déballer sur les dernières révélations de la dynastie Carrington. « De quoi te faire tomber de ta chaise et ouais… » Dis-je en rigolant un peu – mais c’était plutôt un rire noir qu’autre chose. « Ne me le rappelle pas. J’en fais encore des cauchemars… Si j’aurais appris que c’était mon frère, je crois que j’aurais changé tout simplement de nom et j’aurais déménagé au Zimbaoué, au moins, je sais que parmi les Africains, je n’aurais aucune chance de croiser un spécimen qui partage mes gènes…. Mise à part les vipères peut-être. » Ce pays était réellement en Afrique ? Je n’en savais rien, mais ma cousine allait sans doute comprendre le but de ma petite plaisanterie. « D’ailleurs, le mois prochain, j’ai prévue de m’envoler pour les Bahamas. J’ai un contrat à aller signer et je vais en profiter pour profiter du soleil. Tu m’accompagnes ? » Lui suggérais-je d’un doux sourire.

Du revers de la main, je me grattais le côté de la joue tout en écoutant les paroles de ma cousine. Je ne pouvais m’empêcher de sourire. Sa compagnie me rendait confortable et je savais parfaitement qu’en sa présence, je pouvais dire n’importe quoi – pas que je me retenais en temps normal – mais avec Eleanor, c’était surtout sans jugement. Je plissais mes yeux doucement en pinçant les lèvres de bonheur. « Il sait qu’il a de la chance. Tout comme j’ai une chance innée de l’avoir enfin que pour moi. » Je repensais à tout ce que je vivais depuis les derniers mois et je me demandais à quel moment je m’étais réellement posé pour relaxer et réfléchir. Tout découlait très vite et ça faisait de moi une vraie Carrington. Mes cils clignèrent d’un bond lorsqu’elle parlait de Liam. Mon cœur s’emballait même. Que se passait-il ? Venais-je de rougir ? Surement pas. Enfin.. je ne pensais pas. Je tente de camoufler la rauque qui se formait dans ma voix et lui répondis. « Liam ? Ah hum… il a été tellement parfait sur toute la ligne, très gentleman, à jamais demander plus que de me soutenir… » Je réalisais à parlant à quel point il fut bon pour moi. « Mais bon. J’ai fait mon choix. » Dis-je fermement pour démontrer que je ne doutais plus de mes sentiments autant envers l’un que l’autre. Je repris un sourire en faisant un petit bon sur moi-même. « Je parlais plutôt d’Alexis ma chère. » Dis-je en ajoutant un clin d’œil. Je tourne autour de mon bureau pour prendre place bien que Ele se trouvait toujours devant moi. « Donne-moi des nouvelles pour les Bahamas du coup, j’attendais que ta réponse pour boucler. Surtout avec le froid qu’il fait à New York en ce moment, ce n’est certainement pas ici qu’on va réussir à sortir nos maillots. Je suis en train de perdre mes couleurs et ça craint. » Je riais. « Oh oui ! J’ai drôlement envie d’un verre en plus ! Je n’arrive pas à me rappeler si la dernière fois que j’ai sortie avec toi. J’hésite entre cette fois à Atlanta où on était tombé sur cet abruti de Stanley qui flirtait avec nous au camp de vacances ou bien à la soirée d’inauguration des nouveaux implants d’Alexis. » Je fis mine de réfléchir, bien que la seconde n’existait tout simplement pas.

Je savais que mon sourire sonnait faux lorsque je parlais de mon bonheur avec Culhane. Habituellement, je pouvais berner n’importe qui, mais Eleanor me connaissait trop pour ne pas voir en moi l’hésitation et la préoccupation face à toute cette histoire. J’aimais sincèrement Culhane. Michael et moi, c’était une histoire qui datait de longtemps et je m’étais toujours retourné vers lui lorsque ça n’allait pas. Il avait envie la chance de m’avoir entièrement et me voilà perturbé par mon mariage avec Liam qui se voyait amoureux de moi. Non, je ne pouvais pas faire ça à Michael. Il ne méritait pas ça. J’avais fait mon choix… mais encore. Mon malaise se voyait et mon sourire changea en tristesse. « Oui oui… J’espère être avec Michael depuis tellement de temps… c’est l’homme parfait pour moi, il est beau, gentil et très compréhensible. Je sais qu’il me supporte et ça, c’est quelque chose de très surprenant…. Mais Liam, c’est une autre histoire et … je tiens également à lui… j’ai fait mon choix…. » Comment était-ce supposé être sincère ? Mes sentiments voguaient d’un bord à l’autre. J’étais perdue…. Sincèrement. « Les seins de Alexis font partie éminente de nos vies depuis si longtemps qu’il est normal qu’on en oublie qu’un jour, elle avait des roploplos aussi petit que … que celle de la nouvelle fiancée de papa. » Je rigolais bien. « Alors, je me lance dans le dossier Wren Energy et je mets à mon horaire que ma soirée est libre pour sortir avec toi, d’accord ? » Je lui fis un clin d’œil. Il était surement le temps de travailler. J’appuie sur l’intercom. « EXELIE, MON CAFÉ ! » Hurlais-je.